Josh Drescher sur son blog

Suite et fin de l'aventure de Josh Drescher à Paris lors du Press Event. Il nous avait déjà fait part de ses premières impressions à propos de cet événement, voici la suite et fin !

Bien...il semblerait que je ne vous avais pas tout dit à propos de mon histoire bonus à Paris. J'ai omis volontairement, et ce pour ma propre santé mentale ainsi que pour protéger les gens biens et décents de L'Internet d'une potentielle angoisse mentale. Quoi qu'il en soit, Le Hickman voulait que la Vérité soit connue et - comme nous le savons tous - ce que Le Hickman Veut, Le Hickman Obtient.

Poursuivez votre lecture à vos risques et périls:
Je reprends donc après ma courses avec le type "sauvages".

La plupart du cacaboudin enlevé de ma chausse, et une pluie légère commençant à tomber, je suis retourné dans ma chambre d'hotel. C'était notre dernière nuit à Paris et ma charmante fiancé était dans la salle de bain, en train de remballer des affaires pour rentrer chez nous. Je me dirigeai alors vers notre petit balcon en grommelant pour quelques minutes d'essuyage additionnelles mais il était clair qu'aucune quantité de papier toilette ni de stylos d'hotel ne résoudrait le problème.

Notre douche (à la fois stupide et européenne) avait une de ces pomme de douche détachables qui semble être conçues pour ne pouvoir en aucun cas laver une personne de taille adulte sans asperger la moitié de la salle de bain en même temps. Alors que la dite douche m'a cassé les pieds tous les matins pendant une semaine, il était clair qu'elle serait parfaite pour dé-cacaboudinsifier ma chaussure.

J'ai donc littéralement vaporisé le caca restant.

Non seulement ma chaussure était désormais libérée de l'emprise fécale mais j'avais réussi à créer un...nuage...de caca. Il passa prêt de ma tête et j'en ai profité, contre mon gré cela va de soit, pour emplir mes poumons d'horreur cacaboudine bien tiède. J'était tellement dégoûté que j'en ai lâché ma chaussure et la pomme de douche (toujours en action). J'ai alors couru à travers la chambre en essayant d'éviter de vomir ) droite à gauche. Ma chère Aubrey sorti alors à son tour de la salle de bain; elle semblait avoir pu esquiver le gros de ce nuage toxique (sûrement parce que j'en avait inhalé la moitié). Je suis retourné dans la salle de bain en trébuchant puis j'ai jeté la chaussure sur le balcon couvert pour qu'elle sèche.

Le matin qui suivit, ma chaussure était sèche, et propre.

J'avais gagné.

Du moins je le pensais...

Le reste du voyage se déroula sans incident notable (à part qu'on nous à offert de passer en première classe pour le vol de retour - champagne et massage pour tout le monde!) et je pensai que ma mésaventure était finie. Je l'ai tapée et postée ici pour que tout le monde puisse la lire et voilà tout...jusqu'à ce que je reçoive l'tramail suivant de Jordan du Marketing:

Au fait, ce n'était peut-être pas du caca de chien sur ta chaussure. Paris a de gros problèmes avec certaines personnes qui font leurs besoins dans la rue et pour autant que je sache, il y a toujours de l'eau qui coule dans les gouttières tous les jours pour les garder propres. Ô seigneur. Tous les morceaux du puzzle s'assemblèrent alors dans mon esprit. Le volume et la consistance de la montagne initiale de féculant. Sa position, en plein milieu de la chaussée. La réponse étrange de l'homme à côté du banc. Tous ces éléments désignaient une horrible vérité - supportée par un peu de Google: c'était de la crotte humaine!

J'avais réusi à nettoyer ma chaussure complètement, donc je n'avais aucun soucis avec le fait de la ramener avec moi de Paris. Après tout, qui jette une chaussure juste parce qu'elle a un jour était souillée ? Mais quelque chose à propos de l'idée que cette souillure était d'origine humaine. Je fut en conflit toute la soirée et je crois qu'il me fut impossible de tolérer l'existence même de cette chaussure plus longtemps. Si j'avais les moyens, j'aurait jeté cette paire maudite jusqu'au soleil ou au fond de l'océan. A la place, j'ai couru au magasin pour les remplacer par une nouvelle paire de chaussure fraîche et vierge.

La leçon est claire:

A Paris, regardez ou vous mettez les pieds.

Source : http://joshdrescher.com/2008/04/07/blame-the-hickman/

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